Signature du contrat de partenariat entre la BCB et le FESTICAB

L' ADG de la BCB et le représentant du Festicab lors de la signatre du contrat (www.akeza.net)

L’ ADG de la BCB et le représentant du Festicab lors de la signature du contrat (www.akeza.net)

Après la BRARUDI, la BCB  a pris le chemin de soutenir le Festival international du cinéma et de l’audiovisuel du Burundi. La signature du contrat de partenariat a eu lieu dans l’après-midi  de ce mercredi. Depuis 2010, le Festicab donne son appui à ce festival qui en est à sa 6ème édition. Selon l’ADG de la BCB, ils sont très surpris par l’ampleur que prend ce festival, et comment son audience se développe. La Bcb s’est engagée avec le Festicab sur une durée de trois ans, pour un montant de 15.000.000 fbu.

 

Un contrat de fidélité

 

Ngabo Léonce a profité de l’occasion pour rappeler, qu’il n’est pas fréquent de voir les entreprises burundaises, soutenir un événement culturel, alors que la culture est la base du développement. Ngabo Léonce, au nom du Festicab a présenté ses remerciements à la plus ancienne banque du pays. « C’est un jour exceptionnel qui rentre dans l’histoire du partenariat BCB-FESTICAB. Ce partenariat est un signe de confiance que vous nous accordez. Je ne l’appelle pas contrat de partenariat, plutôt je l’appelle contrat de fidélité.» Disait Ngabo Leonce, avec satisfaction.

 
Tous les représentants de ces institutions, sont revenus sur l’impact de ce festival.  «Le festival n’est pas une affaire de quelques individus, c’est une affaire  qui devait rendre fier tout le monde.» Rappelait toujours Ngabo Leonce. Et quant au directeur adjoint de l’exploitation au sein de la Bcb Robert Nkeramihigo, le Festicab est une source de création d’emploi. Et à Ngabo Leonce d’ajouter  que le cinéma n’est pas seulement une forme de divertissement. C’est aussi une forme d’éducation de tout un peuple, d’ où le choix  dans cette édition du thème «Cinéma et la démocratie.»

 




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